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Retour d’expérience - Laurent Goldstein

  • Uwti
  • 27 mars
  • 4 min de lecture

Dernière mise à jour : 1 avr.

Avec UWTI, je rentre dans le 21ᵉ siècle !




Laurent Goldstein est un spécialiste du management et du coaching, avec plus de 20 ans d’expérience dans l’accompagnement des dirigeants et des équipes.


Fondateur d’un cabinet de conseil en région nancéenne et professeur affilié à l’ICN Business School, il forme également les futurs coachs à Nancy, Paris et Luxembourg.


Passionné par les dynamiques de groupe et la résolution de problèmes, il a récemment intégré UWTI dans ses pratiques. Il a accepté de partager avec nous son parcours et son retour d’expérience sur cet outil innovant.





Peux-tu te présenter en quelques mots ?


J’ai deux métiers : le conseil en management et en stratégie d’entreprise, avec un cabinet que j’ai fondé il y a 22 ans, et l’enseignement, notamment à l’ICN Business School et à l’Université de Lorraine. J’accompagne les managers et dirigeants sur des problématiques managériales et je forme aussi les futurs coachs.

Je me suis intéressé au coaching dès les années 90 grâce à René David Hadjadj, l’un des premiers Master Coach en Europe. À l’époque, je dirigeais la zone Grand Est d’un groupe allemand, et cette approche centrée sur l’humain a transformé ma vision du management. En 2003, j’ai créé mon propre cabinet, à une époque où le coaching était encore peu répandu en France.


À cette époque, le coaching a été une révélation pour moi.


Quels types de problématiques rencontres-tu chez tes clients ?


L’objectif est toujours d’aller d’un point A à un point B. Si un client me dit « J’ai besoin d’avoir confiance en moi », ce n’est pas du coaching, c’est de la thérapie. En revanche, si son besoin est « Je dois implanter mon entreprise aux États-Unis et convaincre des dirigeants américains, donc gagner en assurance », alors mon rôle est de l’aider à atteindre cet objectif précis.

Je travaille principalement avec des cadres supérieurs, des dirigeants de PME/PMI et des cadres de grands groupes, notamment dans le secteur bancaire. J’interviens souvent sur des prises de fonction : « Je vais devenir CFO d’une banque, je dois être accompagné pour réussir cette transition ». Je travaille aussi sur la gestion des conflits et la cohésion d’équipe.



“Même cause, mêmes effets.”

Quelle est ta touche personnelle en tant que coach ?


J’aime utiliser une métaphore du rugby : j’ai une approche d’avant, celui qui fonce droit au but. Mon coaching est direct, pas trop psychologisant. Si on définit un plan de travail ensemble, que tu auras définit en fait, et que tu ne l’appliques pas, je ne vais pas chercher à analyser le pourquoi du pourquoi. Je te dirai simplement : « Même cause, mêmes effets. »

Mes clients apprécient cette approche pragmatique et orientée action. Je ne perds pas de temps à “tâter le pouls”, je veux avancer avec eux.



Comment as-tu découvert UWTI et pourquoi as-tu décidé de te former ?


C’est Raoul Guinebert, un ami, qui m’a fait découvrir UWTI en plein confinement. J’ai trouvé ça très intéressant. Ensuite, nous avons co-animé un programme ensemble : lui avec UWTI, moi avec mon expertise en animation d’équipe et mes apports conceptuels. J’ai été impressionné par la richesse de ce qu’il pouvait en tirer.

J’ai donc voulu me former moi-même, car je voyais tout de suite l’intérêt pour mes accompagnements managériaux et même pour mes étudiants en génie civil, qui travaillent en petites promotions. L’outil apporte un vrai plus, notamment sur la résolution de problèmes complexes.



En quoi UWTI est-il un atout pour toi ?


C’est un outil innovant et différenciant. Il me permet d’apporter de la nouveauté à mes clients. J’ai d’ailleurs annoncé dans mes vœux cette année un nouveau programme dédié à la résolution de problèmes complexes, intégrant UWTI.


Ce que j’aime particulièrement, c’est son approche “phygitale” : à la frontière entre le digital et le physique. Il existe beaucoup d’outils purement digitaux ou entièrement physiques, mais très peu qui mixent les deux avec autant d’intelligence. C’est une vraie valeur ajoutée.



“Sans méthode, la collaboration ne suffit pas.”

Quels enseignements préfères-tu transmettre avec UWTI ?


Deux recettes me plaisent particulièrement : Out of the box et Fédérer.


  • Out of the box met en lumière un principe essentiel : pour collaborer efficacement, la bonne volonté ne suffit pas, il faut une méthode. Une seule table peut réussir l’exercice, mais l’objectif est que toutes y arrivent. Instinctivement, ceux qui réussissent veulent aider les autres, mais sans méthode, ils n’y arrivent pas. Quand ils comprennent qu’une approche structurée est nécessaire, tout change.


  • Fédérer, que j’utilise souvent en deuxième journée de formation, est fascinant à observer. Dès que les participants voient les briques, ils oublient tout ce qu’on leur a appris sur la nécessité de poser un cadre. Les extravertis prennent le dessus, les introvertis reculent. Et même s’ils pensent avoir compris l’exercice, ils n’arrivent pas toujours à l’appliquer. C’est une vraie leçon sur l’importance du langage commun et de l’organisation collective.


J’aime aussi le séquencement d’UWTI entre la manipulation et les enseignements qu’on en tire, c’est très puissant pédagogiquement.



Je suis un Stackanoviste du cadre !

Quels parallèles tes clients peuvent-ils faire avec leur quotidien ?


J’espère qu’après mes formations, ils auront le réflexe de poser un cadre, même pour une simple réunion à deux. C’est un principe que je martèle :


  1. Quel est l’objectif ?

  2. De combien de temps on dispose pour l’atteindre ?

  3. Et avant de discuter qui a tord ou raison, quelle méthode allons-nous employer pour atteindre l’objectif dans le temps imparti ?


C’est une discipline qui m’est venue de mes expériences passées, notamment en politique. Avant de travailler dans le conseil, j’ai passé sept ans aux côtés de ministres et de parlementaires. J’étais plongé dans des négociations complexes, où des intérêts divergents devaient être alignés. Pour le dire plus simplement, il s’agissait d’inscrire sur une même liste électorale des personnes poursuivant des intérêts divergents. Sans un cadre clair dès le départ, on ne s’en sortait pas.



Un dernier mot sur ton expérience avec UWTI ?


Ce que j’aime avec UWTI, c’est qu’il n’est ni totalement digital, ni purement physique. Il a un côté ludique qui captive les participants. L’objet en lui-même, avec ses couleurs et son intelligence, fascine.


Autre point appréciable : les briques ont une excellente autonomie de batterie !


Enfin, UWTI offre un vrai avantage concurrentiel. Les participants vivent une expérience marquante qui leur donne envie d’y revenir. C’est un outil qui se distingue et qui fait la différence dans mes accompagnements.


“UWTI offre une expérience marquante qui donne envie d’y revenir.”


Merci Laurent pour ce retour passionnant !

 
 
 

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ARNAUD BRACHET
arnaud.brachet@uwti.io

ARNAUD LE CAT
arnaud.lecat@uwti.io

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